sexta-feira, 28 de dezembro de 2007

Michel Fugain

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Christophe

Très jeune, il est fasciné par l'« American way of life », tel qu'il est dépeint dans les films qu'il va souvent voir au cinéma. Vers ses 8 ans, Édith Piaf et Gilbert Bécaud sont ses premières idoles, bientôt supplantés par le blues, véritable révélation pour l'adolescent : il découvre Robert Johnson et surtout John Lee Hooker. À la fin des années 1950, comme bien des gens de sa génération (celle du baby-boom de l'après-guerre), il est alors marqué par Elvis Presley et James Dean, tout en développant une passion sincère pour le rock des pionniers de la maison Sun et le blues (il reconnaîtra avoir également été influencé par Georges Brassens). Ayant trouvé sa vocation (de son propre aveu, il ne sera qu'un médiocre écolier), il fonde un groupe amateur appelé « Danny Baby et les Hooligans », où il chante le plus souvent en yaourt (du faux anglais) tout en s'accompagnant à la guitare. Après son service militaire, il entame une carrière de chanteur en solo. En 1963, il enregistre son premier 45 tours sur le label de la célèbre salle parisienne, Golf Drouot. Reviens Sophie, inspirée par la musique noire américaine passe totalement inaperçu. En 1965, il devient une vedette avec la ballade Aline, chronologiquement un des premiers slows de l'été en France avec le J'entends siffler le train de Richard Anthony. Le succès colossal de ce titre (il s'en vendra un million d'exemplaires) dont il a écrit paroles et musiques lui vaudra quelque temps plus tard un procès pour plagiat du chanteur Jacky Moulière, qu'il perdra mais gagnera en appel à la fin des années 1970. D'autres succès suivront à un rythme plus ou moins régulier : Les Marionnettes, J'ai entendu la mer ou Excusez-moi, Monsieur le professeur. Grisé par sa réussite, il vit alors à cent à l'heure, au propre et au figuré, ses démêlés avec la maréchaussée parisienne pour excès de vitesse au volant de ses Ferrari Testarossa et Lamborghini faisant partie intégrante de sa légende. Séducteur impénitent, il a une liaison avec la chanteuse Michèle Torr, qui aura de lui un fils appelé Romain né le 18 juin 1967 — quatre ans plus tard, il épousera Véronique (demi-soeur d'Alain Kan), avec laquelle il aura une fille appelée Lucie. En 1967, il signe la bande originale du film La Route de Salina, de Georges Lautner, sa seule incursion dans le domaine cinématographique jusqu'à présent. Au début des années 1970, sa popularité fléchit pendant une courte période, durant laquelle il se laisse pousser une moustache qui, avec sa longue chevelure blonde, peaufinera son image de latin lover et représente accessoirement un hommage à l'industriel italien Enzo Ferrari. Le déclic se produit à nouveau pour Christophe lorsque son producteur Francis Dreyfus lui adjoint les services du jeune parolier Jean-Michel Jarre, avec lequel il écrit l'album Les Paradis perdus, très influencé par le rock anglo-saxon de l'époque (Pink Floyd, Lou Reed). En 1973, il voulait mourir, comme le démontre cet extrait de l'album Les Paradis Perdus : À chaque pas la nuit tombe Sur mes cheveux collés Dans ces phares qui éclairent Ma guitare mouillée Même la mort Est trempée Je veux partir avant que vienne l'heure Je quitterai ce monde qui se meurt Je veux mourir avant longtemps Loin de ce bruit loin de ces gens Je n'ai pas eu le temps de vivre Le succès est à nouveau au rendez-vous, la réussite de leur association étant concrétisée en 1975 par l'album et le 45 tours Les Mots bleus, un des sommets de la carrière de Christophe, qui lui permettra de renouveler son public. Il se produit alors à l'Olympia à guichets fermés. Christophe a délaissé son look de jeune homme « comme il faut » des années 1960, pour revêtir la panoplie du dandy légèrement décadent chantant d'un air détaché le Dernier des Bevilacqua ou le tube Señorita. Dans un moment de vide intérieur, de son propre aveu, il dérape alors et tombe pour une courte période dans la drogue. En 1978, il publie un de ses albums les plus audacieux, Le Beau Bizarre, qui n'aura pas le succès de ses prédécesseurs mais lui vaudra les louanges de la critique. Les textes sont alors signés Bob Decout. Il collaborera ensuite avec Boris Bergman pour Samourai et avec son beau-frère Alan Z Kan pour Pas vu, pas pris. Entre-temps, à la demande de sa femme Véronique, Christophe ressort en 1980 le 45 tours Aline et aligne trois millions et demi de ventes, à sa grande surprise. En 1983, son troisième plus gros succès en simple sera à nouveau une ballade, Succès Fous, dont il vend quelques 600 000 copies et qui achèvera de le cataloguer (à tort) comme chanteur pour midinettes. Par la suite, son rythme de travail ne cessera de se ralentir : il publie un album d'adaptations de standards anglo-saxons des années 1940-1950 (Clichés d'amour), des 45 tours (Ne raccroche pas, qui se veut un clin-d'œil à l'adresse de la jeune Stéphanie de Monaco) mais ne fait plus de scène. Il se consacre alors essentiellement à ses collections de juke-boxes, de disques rares et de grands films — sa cinéphilie était bien connue du directeur de la Cinémathèque française, Henri Langlois, à qui il prêta une copie originale de La Strada de Federico Fellini. Mélomane averti, il se tient toujours au courant des dernières nouveautés, afin notamment d'actualiser sa propre musique. Perfectionniste jusqu'à la maniaquerie, il peut passer un an à travailler sur le son d'une simple partie de batterie ! Après un 45 tours passé à peu près inaperçu Chiqué chiqué en 1988, Christophe change de maison de disques en 1995. De Motors, il passe chez Epic, une division de Sony. En 1996, il publie un album ambitieux mais qui ne fera guère parler de lui, Bevilacqua, où on l'entend en duo avec son idole en: Alan Vega du groupe américain « Suicide ». Véritable disque d'ambiance, Bevilacqua surprend par sa modernité : Christophe y est lui-même et ne ressemble plus au dandy crooner des années 1970. Très intéressé par la techno et les synthétiseurs, attiré par les nombreuses possibilités qu'offrent les ordinateurs, Christophe a pendant de longs mois bricolé et travaillé voix, sons et musique au studio situé dans sa résidence. Ses chansons ne sont pas écrites sur le modèle couplet-refrain-couplet, elles témoignent plutôt d'un esprit torturé, labyrinthique. Cinq ans plus tard, Comm' si la terre penchait connaîtra un meilleur accueil, même si on est encore loin des scores de vente passés. Il annonce alors son retour sur scène (où il ne s'était pas produit depuis 26 ans) et donne une série de magnifiques concerts à l'Olympia, s'étant entouré d'un excellent groupe pour recréer ses titres les plus célèbres. Le disque Christophe Live à l'Olympia publié l'année suivante et le DVD témoignent parfaitement de cette magie retrouvée. En 2004, il chante en duo avec Alain Bashung sur la scène de l'Élysée Montmartre Les Mots bleus et Amsterdam. En mars 2005, il apparaît sur la scène de l'Opéra-Comique pour offrir à Brigitte Fontaine une interprétation inoubliable de la chanson Hollywood (paroles de B. Fontaine, musique de Areski Belkacem). En 2007, Christophe chante L'un dans l'autre sur l'album Arkhangelsk du trompettiste Erik Truffaz, morceau dont il a écrit les paroles.

Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

quarta-feira, 26 de dezembro de 2007

terça-feira, 18 de dezembro de 2007

sexta-feira, 9 de novembro de 2007

James Brown

James Joseph Brown Jr., ou simplesmente James Brown, (Barnwell, Carolina do Sul, 3 de Maio de 1933Atlanta, Geórgia, 25 de Dezembro de 2006) foi um cantor, compositor e produtor musical norte-americano reconhecido como uma das figuras mais influentes do século XX na música.

Nascido na Carolina do Sul, foi um prolífico letrista e produtor musical, foi o principal impulsionador da evolução do gospel e do rhythm and blues para o soul e o funk, sendo a invenção deste último género creditada a ele. Também deixou a sua marca noutros géneros musicais, incluindo rock, jazz, reggae, disco, no hip-hop e na música dançante e eletrónica em geral. Foi abandonado aos 4 anos pelos seus pais e deixado aos cuidados de parentes e amigos. Cresceu nas ruas de Augusta (Geórgia), onde cantava e dançava para pagar o quarto de um bordel.

Aos 16 anos, passou três anos num reformatório por roubar carros. Durante os anos 60, lançou canções tais como "Papa's Got a Brand New Bag", "I Got You (I Feel Good)", "Get Up (I Feel Like Being a Sex Machine)" e "I'm Black and I'm Proud". Em 1988, foi condenado a seis anos por posse de drogas e armas.

A sua carreira de músico profissional iniciou-se em 1953, atingindo a fama no fim da década de 1950 e início da década de 1960, graças à força das suas performances ao vivo e a uma sequência de grandes sucessos. Apesar de numerosos problemas pessoais e alguns insucessos, ele continuou a produzir sucessos nas duas décadas seguintes. Nas décadas de 1960 e 1970, Brown era uma presença em assuntos políticos norte-americanos, especialmente no activismo a favor dos negros e dos pobres.

James Brown morreu aos 73 anos a 25 de dezembro de 2006, em Atlanta, Geógia, EUA, após internamento devido a severa pneumonia.

Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

domingo, 4 de novembro de 2007

sexta-feira, 2 de novembro de 2007

quinta-feira, 1 de novembro de 2007

terça-feira, 23 de outubro de 2007

Carro do Povo - 1.ª Parte

O KDF-WAGEN A Kraft durch Freude, que pode ser traduzido como "Força pela Alegria", a organização para os tempos livres da DAF - Deutsche Arbeitsfront, a Frente Alemã do Trabalho, a grande organização corporativa do regime nazi, foi quem mandou construir a fábrica de Wolfsburg, onde foi produzido o "carro do povo".
Tudo começou em 1934 quando Hitler encomendou ao engenheiro austríaco Ferdinand Porsche o desenvolvimento de um pequeno automóvel "para o povo". Porsche tinha sido director técnico da Daimler-Benz, mas no começo dos anos 30 tinha-se estabelecido por conta própria como designer de automóveis desportivos e de competição, em Stutgart, no sul da Alemanha. Um dos seus projectos era o de desenvolver um carro pequeno que fosse, ao mesmo tempo, barato e económico; um «carro popular», que em alemão se dizia Volkswagen. O primeiro estudo foi realizado em 1931 para a Zundapp, e o protótipo, com o nome de tipo 12, foi produzido no ano seguinte, mas abandonado. Em 1932, o projecto foi reaproveitado a pedido da NSU, mas também acabou por ser abandonado. Em 1933, Hitler abordou Porsche, que conhecia desde 1924, sobre a realização de um carro popular e pediu-lhe a apresentação de projectos. Porsche, entre outros, apresentou um projecto com base numa plataforma com suspensão dianteira e traseira com barras de torção, com um motor de 4 cilindros arrefecido a ar, por meio de uma turbina movimentada pela árvore do dínamo. A carroçaria baseava-se nos carros de corrida Bentz e no Tropfenwagen de Rumpler, um carro em forma de gota de água. Foi este projecto que Hitler apoiou em 1934, e que foi formalmente contratado com a Reichverband der Automobilindustrie (RDA), a associação industrial da indústria automóvel. O carro que foi encomendado tinha que ter como características, um motor traseiro de 986 cc, de 26 cavalos, uma velocidade máxima de 100 km/hora, não pesar mais de 650 kg, ser refrigerado a ar, e consumir 7 litros aos cem quilómetros. Imitando a solução encontrada pela Ford, com o seu modelo T, o Volkswagen, também só seria fabricado numa única cor - um azul escuro acinzentado, quase preto. Os primeiros protótipos foram terminados em fins de 1935, sendo baptizados com o código VW1 e VW2. Os primeiros ensaios em estrada foram realizados de Outubro a Dezembro de 1936, com base em três protótipos, e depois de estes serem analisados por uma comissão de admissão à produção, composta por representantes de todos os construtores de automóveis alemães, o projecto foi aceite. Em 1937 e 1938 foram fabricados à mão, pela Mercedes-Benz, por ordem expressa de Hitler, duas séries de protótipos, conhecidos pelo nome de VW38. Uma primeira série de 30 e posteriormente uma nova série de 60, que realizam ensaios de avaliação em grande escala. Foi em 1938 que se decidiu construir uma fábrica para produção dos Volkswagen. O local escolhido foi a propriedade do conde von Schulenburg, o castelo de Wolfsburg, em Fallersleben na Baixa-Saxónia, a 80 km da cidade de Hanovre. A empresa que iria produzir o novo carro foi registada, em 28 de Maio de 1938, com o nome Gesellschaft zur Vorbereitung des Volkswagens (GEZUVOR) - Companhia para o desenvolvimento do Volkswagen, que foi mudado para Volkswagenwerk GmbH em Outubro seguinte. A fábrica foi lançada por Hitler em 26 de Maio de 1938, sendo aí apresentados os protótipos definitivos, de pré-produção, um dos quais era descapotável e outro com um amplo tecto de abrir. O New York Times de 3 de Julho descrevia-o ironicamente dando-lhe o nome de «Beetle» - Carocha. A sua apresentação ao grande público deu-se no Salão Automóvel de Berlim de 1939, com o nome de Kdf Wagen - o Carro Força pela Alegria! Ao mesmo tempo que se construía a fábrica criava-se uma cidade que teve o nome provisório de Stadt des KdF-Wagens - Cidade do carro Força pela Alegria. O preço estabelecido foi de 990 Reich Mark's, mais 200 marcos para o pagamento dos seguros, num total de quase 1.200 marcos, divididos em pagamentos semanais de 5 marcos. O contrato previa a possibilidade de rescisão, mas a empresa seria indemnizada com 20% do capital pago, não se obrigando a um prazo de entrega, mesmo que o carro já tivesse sido pago.Em finais de 1938 havia 150.000 contratos realizados, que chegaram, em Novembro de 1940, aos 300.000, mas nenhum "Volkswagen" foi entregue a particulares. Entre Maio de 1938 e Setembro de 1939 foram fabricados, à mão, 215 exemplares, sendo que o primeiro destinado à venda saiu da fábrica em 15 de Agosto de 1939. Estes exemplares foram todos entregues a dignitários nazis. A produção em série só começou em Julho de 1941, sendo produzidos ao todo 41 modelos, devido a que a produção se centrava na produção dos modelos militares. Quando em Agosto de 1944 a fábrica foi integrada na indústria de armamento alemã, sobretudo para produzir os foguetes V1, e a produção dos KdF-Wagen foi terminada, tinham sido produzidos, ao todo, 630 exemplares. O primeiro modelo militar, construído na fábrica da Kdf, foi um carro para oficiais, com tracção às quatro rodas e um chassis mais elevado, que teve o nome de Kommandeurwagen, e de que foram construídos 667 exemplares. O modelo tinha boas qualidades em todo-o-terreno, mas a sua prestação em estrada era má, por falta de tracção. Foi o carro que voltou a ser fabricado em 1946, quando a fábrica, destruída durante a guerra, começou a produzir novamente. O Kubelwagen, o modelo seguinte teve muito mais sucesso, tendo sido produzidos 50.788 exemplares. Foi, de facto, o Jeep alemão, nem que seja pelo facto de a carroçaria ser fabricada por uma companhia americana, a Ambi-Budd de Berlim. Devido a ter o motor arrefecido por ar, podia ser usado em qualquer região do mundo, tanto no Árctico como no Norte de África. Em 1944 o motor de 984 cc foi substituído por um de 1.131 cc, o motor que será usado nos primeiros "Carochas" produzidos no pós-guerra. Este modelo voltou a ser produzido nos anos 60, tanto numa versão militar, como numa civil, sendo conhecido nos Estados Unidos por "The Thing" - A Coisa! A outra versão militar, e a última, produzida durante a Segunda Guerra Mundial foi o Schwimmwagen. Veículo anfíbio produzido a partir de 1942, com uma carroçaria completamente estanque, o "Schwimmwagen" era um bom veículo de reconhecimento, devido a ser também um veículo todo-o-terreno. O carro foi desenhado pelo filho do Eng. Porsche, também chamado Fernando, e conhecido pelo diminuitivo Ferry. A Direcção de Material das forças militares das SS - as Waffen-SS, tinha solicitado à empresa de Porsche um projecto para a produção de uma moto com o motor do Kdf-wagen, que tivesse capacidades para todo-o-terreno. O Schwimmwagen, usando o motor de 1.131 cc que será utilizado depois no Kubelwagen, foi fabricado até 1944, tendo sido produzidos 14.283 veículos.

Citroen 2CV

Em 1936, Pierre Boulanger, o sucessor de André Citroen, pede aos engenheiros da Citroen que construam um pequeno carro, económico, capaz de transportar 4 adultos e 50 Kg de bagagem e com um grande conforto, de atingir velocidades até aos 50 kilómetros/hora e com um consumo inferior a 3 litros aos 100. A acrescentar a isso, era também necessário que o sistema de suspensão permitisse conduzir através de um campo com um cesto de ovos, sem que nenhum se partisse, e que o carro fosse tão simples que até a esposa do agricultor fosse capaz de o conduzir. Foi destas estranhas especificações que nasceu um carro que viria a tornar-se uma das lendas do automóvel deste século e que viria a tornar-se conhecido por 2CV. Entre os anos de 1936 e 1939, vários protótipos de TPV (Tout Petit Vehicule, em português, 'Veículos Miniatura') foram desenhados pelos engenheiros da Citroen. Em 1939, a companhia Citroen tencionava apresentar o seu mais recente modelo no Festival Automóvel de Outubro, que viria a ser cancelado devido ao inicio da guerra, em Agosto. De modo a manter o projecto secreto, Citroen mandou destruir todos os prótótipos e pré-séries construidos até então (500) mas alguns foram cuidadosamente escondidos. Depois da guerra, passaram-se, aínda, três anos até que Citroen tornasse público o 2CV, no Salão do Automóvel de Paris, em 1948. A imprensa francesa ficou boquiaberta... não era possível... Citroen tornou-se a chacota de todos, por apresentar um carro assim tão feio. Gerou-se então uma grande controvérsia: uns previam para o 2CV um futuro brilhante, enquanto outros o viam como um fracasso industrial. Por ordem directa de Boulanger, Citroen distribuía o 2CV somente a determinadas pessoas: agricultores, médicos de província, artistas e poucos mais. Só esses podiam comprar o 2CV criando, deste modo, um culto em torno do automóvel. Como determinados artistas franceses, durante as tournées conduziam 2CV. o carro foi bastante exposto e tornou-se popular em pouco tempo. O 2CV foi fabricado em várias séries, desde 1949 até 1990. Um grande número de pequenas e grandes alterações foram efectuadas até alcançarmos a ultima versão que todos conhecemos. O Motor foi aumentado de 375 para 602 cc. enquanto a potência cresceu desde os 9 até aos 34 cavalos (Bhp). A velocidade máxima também saltou dos 60 para os 120 kilometros por hora. 27 de Julho de 1990, 16:00 GMT. O Citroen 2CV junta-se às fileiras das "lendas automóveis fora de produção" quando o ultimo automóvel foi produzido na fábrica Portuguesa e a linha de montagem parou. Durante mais de 40 anos, o 2CV e uma grande variedade de modelos derivados foram conhecidos por todo o mundo. 5515015 unidades (saloon/sedan e van/wagon) foram produzidas em mais de 15 países, incluindo Argentina, Bélgica, Chile, Portugal e Irão.

segunda-feira, 22 de outubro de 2007

Gilles Lipovetsky

Gilles Lipovetsky (Millau, 24 de setembro de 1944) é um filósofo francês, professor de filosofia da Universidade de Grenoble, teórico da Hipermodernidade, autor dos livros O luxo eterno e O império do efêmero. Em suas principais obras, principalmente em "A Era do Vazio", analisa uma sociedade pós-moderna, marcada, segundo ele, por um desinvestimento público, pela perda de sentido das grandes instituições morais, sociais e políticas, e por uma cultura aberta que caracteriza a regulação "cool" das relações humanas, marcadas por tolerância, hedonismo, personalização dos processos de socialização e pela coexistência pacífico-lúdica dos antagonismos - violência e convívio, modernismo e "retrô", ambientalismo e consumo desbagrado, etc. O autor irá retornar a esse assunto, tratando de maneira mais ampla essas visões da sociedade, ao referir-se à hipermodernidade, em "Os tempos hipermodernos".
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

terça-feira, 16 de outubro de 2007

Públio Siro

Públio Siro. (85 a.C. - 43 a.C.), escritor latino da Roma antiga. Também conhecido como Publilio Sirio, ou como Publilius Syrius ou Publio Sirio, ou Publius Syrius ou Publilio Siro ou Publilii Syri). Era nativo na Síria e foi feito escravo e enviado para a Itália, mas graças ao seu talento, ganhou o favor de seu senhor, que o libertou e o educou.
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.
"A juventude deve ser domada com a razão, não com a força" "Dificilmente a divindade concede amor e sabedoria" "Ninguém conhece as suas próprias capacidades enquanto não as colocar à prova" "À pobreza faltam muitas coisas, à avareza falta tudo" "É melhor ser ignorante de alguma coisa do que aprendê-la mal"

Fetos

Autor: Francisco José Marques

Solidariedade

Autor: Artur Franco

Igreja sem Cristo

Por Cristo, Sem Cristo Devo começar por dizer, para deixar a minha posição clara, que acredito em Cristo. Acredito na sua mensagem, e nesse sentido, considero-me cristão, embora já não tenha certezas quanto a sua transcendência. Acredito na mensagem de Cristo mas não acredito na Igreja; defendo até a sua auto-extinção, pois penso que a sua postura no mundo apenas afasta o Homem de Cristo. A distância da Igreja com Cristo não é de hoje, não apareceu com a chegada de Karol Wojtyla a Papa, nem com o concílio de Vaticano II. Como dizia Eugen Drewermann, «... A Igreja rejeitou o humanismo durante 500 anos, a reforma protestante durante 450, o Iluminismo durante 200 e as modernas ciências naturais durante 100.» Acrescento ainda que assassinou em nome de Cristo com a Inquisição, e que se calou face ao holocausto dos judeus pelo poder nazi. Esta é a Igreja que temos; que sem nunca fazer «Mea culpa, mea culpa», prefere o discurso inflamado em questões como a contracepção a abrir os seus cofres para evitar a morte à fome de crianças em África. O poder corrompe, e a Igreja é o maior exemplo deste ditado. Quando uma sociedade tem como objectivo o poder, a todo o custo, cometem-se as maiores barbaridades, e justificam-se com dogmas acções injustificáveis. Para que serve afinal a Igreja? Penso que a mensagem de Cristo não precisa da Igreja para chegar ao Homem, e felizmente não sou o único a pensar assim. Homens como Mahatma Ghandi afirmaram que no ocidente, onde a Igreja está enraizada, não existe verdadeiro cristianismo. Apesar do clero declarar que a Igreja somos todos, lembro-me do que dizia Eugen Drewermann, que «... na prática os leigos, que constituem 99% desse povo, só tem um direito: fechar a boca e abrir os cordões à bolsa! É uma Igreja em pirâmide: a hierarquia, com o Papa no cimo, afirma que está na posse da verdade. E os leigos podem dizer o que quiserem nada disso conta.» A Igreja de hoje, no seu circuito fechado, declara-se preocupada com a alma, esquecendo-se do corpo que muitas vezes morre de fome! A Igreja é das poucas instituições com poder para acabar com a fome no mundo, mas prefere investir os seus fundos em instituições como o Banco Ambrosiano, com fortes ligações a Máfia Longe vão os tempos em que ser cristão era sinónimo de perigo. A Igreja acomodou-se, depois reprimiu enquanto envelhecia, e hoje radicalizou-se. Reprimiu entre outros, quem tentou transformá-la por dentro. Neste capítulo a Igreja tem uma longa tradição, desde Copérnico até aos sacerdotes da teologia da libertação. É bom não esquecer o recente afastamento do bispo francês Galieot, ou a atitude hipócrita perante o sofrimento dos timorenses. Porque a Igreja prefere dar-se com o mais forte em detrimento dos mais fracos, funciona como um anestesiante contra os distúrbios dos que julgam merecer mais do que uma vida de miséria. A Igreja hoje, como no passado recente, é uma instituição sem princípios, onde impera a diplomacia e o poder dos fortes, em detrimento da dignidade humana. Se Cristo vivesse hoje lutaria, como lutou há 2000 anos contra os fariseus, contra o poder instalado do Vaticano. Felizmente ainda existem homens com espírito de missão, que dedicam a sua vida ao serviço dos outros, à semelhança de Cristo. Desses, tive a honra de conhecer alguns. Lutam desesperadamente por condições dignas dos menos favorecidos, mas acabam por ficar na base da pirâmide da Igreja, sem poder para mudar o que hoje está em decadência. Isto quando não são calados à força pelo voto de obediência, por se terem tornado incómodos ao gritarem por uma mudança da vida dos que sofrem. O que a Igreja deveria fazer, mas nunca fará, é ceder poder, dinheiro, em troca de vidas mais dignas, de menos fome e menos guerra. A Igreja tem poder económico e uma logística capazes de acabar com as misérias que vemos hoje no mundo. Bastava uma vontade expressa pelo topo da pirâmide, para que os milhares de voluntários dedicassem as suas vidas a esse objectivo. A Igreja poderia acabar com a fome! Poderia fazê-lo, mas não admite perder poder, prefere continuar numa pseudo-envangelização, por Cristo, sem Cristo.
João Fonseca

Mireille Mathieu

Nascida em Avignon, sul de França, no ano de 1947, Mireille Mathieu é filha de um operário, Roger e da dona-de-casa Marcelle, que enfrentaram grandes dificuldades económicas para criar os seus catorze filhos. Esta família viveu durante anos numa modestíssima casa de madeira, sentindo na pele o rigor do inverno e da chuva, que atravessavam as frágeis paredes. Mesmo quebrando pedras (literalmente), Roger, seu pai, alimentava o sonho de poder cantar, visto que possuía uma bela voz de tenor. Neste ambiente, Mireille cresceu e herdou o talento musical do pai. Aos quinze anos, Mireille e sua família conseguiram um apartamento de cinco assoalhadas e ela pôde, enfim, tomar um banho quente e decente. Segundo ela mesma, este foi o dia mais feliz de sua vida. Até então... Grande admiradora de Edith Piaf, Mireille cantou em público pela primeira vez aos quatro anos. Porém, para se tornar uma grande estrela internacional, não bastava apresentar-se para a família e os amigos, que a apelidaram “la vie en rose“, por motivos óbvios. Enquanto estudava canto e ouvia atentamente os conselhos da professora Laure Collière, Mireille trabalhava duro numa fábrica de envelopes. Aos dezoito anos, em 21 de novembro de 1965, participa num concurso de caloiros, no programa Télé Dimanche. O público prefere outra candidata, mas, para sorte de Mireille, o empresário Johnny Stark assiste à apresentação e aposta em Mireille. O seu primeiro disco, em 48 rotações, vendeu mais de um milhão de cópias, com as músicas mon credo, c’est ton nom, qu’elle est belle e le funambule. Com uma ascensão meteórica da sua carreira, Mireille participa em programas de televisão nos Estados Unidos e apresenta-se no Olympia, em 1967. O Instituto Francês de Opinião Pública, na época, pesquisou junto do público e declarou Mireille como a cantora preferida do povo francês. Em 1968, Mireille esteve no Brasil e apresentou-se na TV Record, como uma menina-prodígio, uma revelação da música francesa, que seria a sucessora de Edith Piaf, imagem que ela gradativamente foi eliminando, ao adquirir personalidade própria. Desde então, Mireille não voltou a apresentar-se no Brasil, apesar de lançar novos discos, cada vez vendendo mais. Hoje, Mireille já provou sua qualidade superior e tornou-se a embaixatriz da cultura francesa ao redor do mundo. Os seus fãs espalham-se da China ao Brasil, incluindo a antiga União Soviética. Frequenta os palcos sofisticados de Monte Carlo e tem a humildade de se curvar diante de sua musa, Piaf e do Papa João Paulo II, com quem se encontrou recentemente.

segunda-feira, 15 de outubro de 2007

...esperança...

Autor: Bruno Abreu

Lugares...

Autor: Jorge Nelson Alves

Cabo Raso

Autor: Conan

domingo, 14 de outubro de 2007

Mylène Farmer

Mylène Farmer (12 de Setembro de 1961, Pierrefond, Canadá), de nome verdadeiro Mylène Gautier, é uma cantora francesa. Mudou-se para França terra natal dos seus pais, aos oito anos de idade. O seu apelido artístico, Farmer, foi adoptado em homenagem a Frances Farmer. Na adolescência passa três anos no cours Florent e participa em alguns castings para modelo e manequim fotográfico. Enigmática, misteriosa e muitas vezes alvo da crítica da imprensa pelo seu silêncio promocional, Mylène Farmer é a maior e mais bem sucedida cantora francesa dos últimos anos. Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

Rudyard Kipling

Joseph Rudyard Kipling (Bombaim, Índia, 30 de Dezembro de 1865 - 18 de Janeiro de 1936) foi um escritor britânico. Em 1907 ganhou o Prêmio Nobel de Literatura. Foi educado em Bideford, na Inglaterra. Em 1882 voltou à Índia, onde trabalhou para jornais britânicos. Começou sua carreira literária em 1886 e tornou-se conhecido como escritor de contos. Foi o poeta do Império Britânico e seus soldados, que retratou em vários contos, alguns deles reunidos no volume Plain Tales from the Hills', de 1888. Em 1894 lançou O livro da selva, que se tornou internacionalmente um clássico para crianças, também conhecido pelo seu personagem principal, o pequeno Mowgli. Muito conhecido também é um de seus poemas, "If" (Se), no qual um pai dá conselhos a seu filho sobre como ser um homem de bem. Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre. Se Se podes conservar a serenidade quando todos à tua volta A estão perdendo e censurando-te por isso; Se podes confiar em ti próprio quando todos duvidam de ti, Mas aceitando, também, a sua dúvida; Se podes esperar, sem que a demora te canse; Ou, sendo caluniado, não corresponder com ódio, E, contudo, não parecer bom demais, nem presumir de sábio; Se podes sonhar – e não fazer do sonho o teu senhor; Se podes pensar – e não fazer do pensamento o teu alvo; Se podes afrontar o Triunfo e a Derrota E tratar esses dois impostores da mesma maneira; Se podes resignar-te a ouvir a verdade que tens proclamado Desfigurada por tratantes para fazer uma armadilha de tolos; Ou ver desfeitas as coisas a que consagraste a tua vida E, submisso, construí-las de novo com ferramentas gastas; Se podes fazer um monte de todos os teus ganhos E arriscá-los num lance de “moeda ao ar”, Perder, e voltar outra vez ao príncipio, E nunca soltar um queixume acerca da tua perda; Se podes forçar o coração, os nervos e os músculos Para servir o teu fim, muito depois de eles se terem esgotado, E assim perseverar, quando em ti já nada existe, A não ser a Vontade que lhes diz: “Continuem!”; Se consegues falar com a multidão e manter a tua virtude, Ou privar com Reis – sem deixar de ser simples; Se nem inimigos nem amigos queridos conseguem magoar-te; Se todos os homens contam contigo, mas nenhum mais do que outro; Se podes preencher o implacável minuto Com o valor de sessenta segundos de caminho percorrido, É tua a Terra e tudo o que ela contém E – o que é mais – serás um Homem, meu filho! RUDYARD KIPLING (tradução de Pedro Mayer Garção)

sábado, 13 de outubro de 2007

Caminhada

Caros Amigos, Venho convidá-los para mais uma caminhada (sábado, 20 de Outubro). Desta vez, iremos caminhar perto de 15 km pelas paisagens do concelho de Mafra, numa zona bem perto do mar. O ponto de encontro é no largo da Igreja na praia de S. Julião, pouco antes da vila de Ericeira. A caminhada inicia-se pelas 10h00m e está prevista terminar pelas 16h30m. O itinerário para chegar à praia de S. Julião é o seguinte: I. Seguir pela IC19 (Lisboa-Sintra) até ao fim, e virar para IC30 (Sintra-Praias). II. Seguir pela IC30 até ao final e depois continuar na estrada nacional em direcção à Ericeira. III. Na 1ª rotunda virar à esquerda e imediatamente a seguir à direita na direcção do Magoito. IV. Seguir em frente e no cruzamento seguinte virar à direita, em direcção a Ericeira/Magoito/Terrugem. V. Imediatamente a seguir ao cruzamento, à direita, temos as Bombas Galp. VI. Continuar em frente: passagem por aldeia de Terrugem. VII. Seguir sempre em frente na direcção de Ericeira. VIII. Passagem nas Bombas Repsol. IX. Passagem pelas aldeias de Odrinhas, Santa Susana, Pobral, e Baleia. X. Ao entrar na aldeia de Baleia, no Restaurante Chapéu Preto (no lado esquerdo) virar à esquerda (contornando o restaurante), seguindo a seta na direcção S. Julião. Atenção, este cruzamento é pouco visível!!! XI. Passagem pela aldeia de Barril. XII. Na estrada que desce em direcção à praia seguir sempre em frente pela estrada assinalada sem saída e seguir até ao parque de estacionamento do lado esquerdo. XIII. A poucos metros a seguir existe uma pequena igreja, onde será o ponto de encontro. Não é necessária inscrição, basta aparecer no próprio antes da hora. A caminhada é gratuita e podem trazer quem quiser desde que gostem de caminhar ao ar livre. A dificuldade é baixa, acessível a todos. Não existe seguro, pelo que devem caminhar com cuidado. Devem trazer almoço tipo piquenique, água (1 litro), roupa confortável, botas ou ténis de montanha/caminhada. A caminhada faz-se mesmo se estiver a chover por isso devem trazer roupa impermeável e uma muda de roupa seca. Entretanto, no final do ano (26DEZ-13JAN) vamos fazer caminhadas na Sierra Maestra em Cuba, bem como visitas às principais cidades de Cuba: Santiago, Trinidad, Pinal del Rio, Havana, entre outras, e no final alguns dias de praia. Será uma oportunidade única para visitar Cuba com a sua actual identidade e cultura. Caso estejam interessados em participar nesta viagem de aventura contactem-me! Um abraço a todos! Fernando Brioso fernando.p.brioso@gmail.com

BTT

Ary dos Santos

José Carlos Ary dos Santos (Lisboa, 7 de Dezembro de 193618 de Janeiro de 1984) foi um poeta e diseur de poesia português. Oriundo de uma família da alta burguesia, José Carlos Ary dos Santos, conhecido no meio social e literário por Ary dos Santos, vê publicados aos 14 anos, através de familiares, alguns dos seus poemas, considerados maus pelo autor. No entanto, Ary dos Santos revelaria verdadeiramente as suas qualidades poéticas em 1954, com dezasseis anos de idade. É nessa altura que vê os seus poemas serem seleccionados para a Antologia do Prémio Almeida Garrett. É então que Ary dos Santos abandona a casa da família, exercendo as mais variadas actividades para seu sustento económico, que passariam desde a venda de máquinas para pastilhas até à publicidade. Contudo, paralelamente, o poeta não cessa jamais de escrever e em 1963 dar-se-ia a sua estreia efectiva com a publicação do livro de poemas A Liturgia do Sangue (1963). Em 1969 inicia-se na actividade política ao filiar-se no PCP, participando de forma activa nas sessões de poesia do então intitulado "canto livre perseguido". Entretanto, concorre, sob pseudónimo, ao Festival RTP da Canção com os poemas Desfolhada (1969) e Tourada (1973), obtendo os primeiros prémios. É aliás através deste campo – o da música - que o poeta se tornaria conhecido entre o grande público. Autor de mais de seiscentos poemas para canções, Ary dos Santos fez no meio muitos amigos. Gravou, ele próprio, textos ou poemas de e com muitos outros autores e intérpretes e ainda um duplo álbum contendo O Sermão de Santo António aos Peixes do Padre António Vieira. À data da sua morte tinha em preparação um livro de poemas intitulado As Palavras das Cantigas, onde era seu propósito reunir os melhores poemas dos últimos quinze anos, e um outro intitulado Estrada da Luz - Rua da Saudade, que pretendia fosse uma autobiografia romanceada. O poeta morre a 18 de Janeiro de 1984. Postumamente, o seu nome foi dado a um largo do Bairro de Alfama, descerrando-se uma lápide evocativa na casa da Rua da Saudade, onde viveu praticamente toda a sua vida. Ainda em 1984, foi lançada a obra VIII Sonetos de Ary dos Santos, com um estudo sobre o autor de Manuel Gusmão e planeamento gráfico de Rogério Ribeiro, no decorrer de uma sessão na Sociedade Portuguesa de Autores, da qual o autor era membro. Em 1988, Fernando Tordo editou o disco "O Menino Ary dos Santos" com os poemas escritos por Ary dos Santos na sua infância.
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

Poema de um Amigo

Quero Luz! Existe um lugar escondido, entre o dia e a noite.
É onde fico perdido, onde inicio esta revolta, onde choro,
mas organizo a bíblia sagrada feita por mim e para seguir por mim mesmo. A noite e a escuridão, fazem parte de um sofrimento,
um estado de alma num lugar escondido, perdido.
Se é sangue que choro, se este estado é permanente na noite,
Então eu sou o meu vampiro, o dono desta alma,
Pela qual vivo, uma alma de luto.
Continuo, a querer deixar esta escuridão, a lutar por encontrar a luz,
De dia luto para manter algo que ainda não tenho e de noite? Procuro o alimento, minhas lágrimas de sangue...Eu.
Uma alma ferida, mas sonhadora.
Um corpo cansado, mas lutador.
Lágrimas de sangue, lágrimas efémeras. Um preso que grita por liberdade. Simples mortal, procura felicidade.
Quero me libertar de tudo isto, e para isso continuarei a lutar,
Quero secar o sangue da minha alma, quero o descobrir e seguir em frente.
Quero me alimentar não desse sangue, desse escuro, mas sim da força, da luz.
Adeus escuridão, alma que choras o meu sangue, adeus luto, quero te ver anjo,
Quero luz!
NewImpossiblePrince

Poema de um Amigo

Voltando ao luto Vesti o meu casaco negro,
O meu fato cinza, em tons escuros me vestindo, fui lutando.
Sonhei com um certo raio de luz cantado por uma diva,
Acreditei nele, mas para quê? Voltei ao negro, ao luto.
Sorri mais que o esperado, para um ser como eu,
Lutei mais do que eu mesmo um dia esperei,
Lutei, lutei, mas a luz voltou a fechar-se, disse adeus ao azul e vermelho,
Vesti-me de negro, voltei ao luto.
A Esperança que me corria no sangue, tornou-se no vinho,
O vinho que de mim bebi, saboreei, juntei com o sabor salgado de uma lágrima,
Meu corpo, está agora vazio, cansado,
Um corpo, uma alma de luto.
Qualquer um me diz, que ainda há luz,
Para voltar a usar o branco, o vermelho e o azul,
Colocar meu sorriso, meu escudo, mas estou aqui, de novo de negro,
De novo, voltando ao luto.
NewImpossiblePrince

Poema de um Amigo

Limbo Existem pontos sem retorno, mas também existem pontos de retorno, onde o escuro se funde com a luz, onde o limbo se encontra com o nirvana ambos filhos de uma inquietude e receio que os caracteriza. O toque dos acessórios, o toque material, funde-se com a permissão que ofereço ao meu ser, permitindo a minha alma se fundir com o seu, meu, nosso, vosso corpo material e aí sim gozarem ao máximo o limbo! Para muitos o limbo é utópico, mas para a fusão do meu corpo com a minha alma não é mais. A dominação, submissão não está só na atitude, como também na mente, fala-se nestes pólos de poder quando se está na construção do caminho para o limbo. O toque de algo, daquele tecido que só nós reconhecemos, o teu toque, seja físico, seja em espírito, permite a entrega total, o controle dos medos, esquecer o sexo, as complicações do quotidiano, as drogas, físicas, leves ou imaginarias, ou até as controladoras do teu ser, segue em frente, esquece os teus medos, controla os teus receios, aprende, respeita, interioriza o ambiente que desejas, constrói o momento, deixa-te levar, faz o teu momento, deixa-te chegar ao teu limbo! NewImpossiblePrince

sexta-feira, 12 de outubro de 2007

Dalida

Dalida (nascida como Yolanda Christina Gigliotti) (17 de janeiro de 19333 de maio de 1987) foi uma cantora egípcia de origem italiana que fez carreira na França. Ela ganhou 55 discos de ouro e foi a primeira cantora a receber um disco de diamante.
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

quinta-feira, 11 de outubro de 2007

Charles Aznavour

Shahnour Vaghinagh Aznavourian mais conhecido pelo seu nome artístico de Charles Aznavour (Paris, 22 de maio de 1924) é um cantor francês de origem armênia, é também letrista e ator. Além de ser um dos mais populares e longevos cantores da França, ele é também um dos cantores franceses mais conhecidos no exterior. Ele atuou em mais de 60 filmes, compôs mais de 1000 canções (incluindo 150 em inglês, 100 em italiano, 70 em espanhol e 50 em alemão) e já vendeu bem mais que 100 milhões de discos. Aznavour começou sua turnê global de despedida no fim de 2006.
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

Gilbert Bécaud

Gilbert Bécaud (Toulon, 24 de Outubro de 1927Paris, 18 de Dezembro de 2001) foi um cantor, compositor e actor francês, conhecido como Monsieur 100,000 Volts pelos seus espectáculos cheios de energia. Os seus maiores sucessos foram provavelmente Nathalie e Et maintenant, mais tarde traduzida para inglês com o título What Now My Love.
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.

Léo Ferré

Debruço-me ainda

da janela adolescente

para te ouvir

tu que eras leão

e porém te dizias

doente do outono.

Ademar24.02.2006 publicado em abnoxio3.blogs.sapo.pt

Capital Social

Capital Social é um conjunto de elementos (confiança mútua, cooperação, interesse e participação) que conferem poder às pessoas, isto é, capacidade de contribuir para a coesão social e para a integração da comunidade nas questões políticas que norteiam a vida em grupo, no sentido do desempenho social positivo (Putnam, 2000).
Conheça em http://www.sereisocial.com/ o seu Capital Social colaborando anonimamente com um estudo de grandes proporções que pretende avaliar a qualidade das ligações e confiança, que temos com os outros, em Portugal.

quarta-feira, 10 de outubro de 2007

Atitude crítica

Os insectos que infestam as roupas, os cabelos e as camas do homem constituem, graças a uma sábia disposição da natureza, um estímulo à limpeza que é, por si só, um meio importante para a conservação da saúde.
Kant, A Crítica do Juízo

Ciclo de Teatro no Sabugal

O Auditório Municipal do Sabugal acolhe, desde o dia 6 de Outubro e até 3 de Novembro, uma nova edição do Ciclo de Teatro “Outono’07”. São cinco espectáculos teatrais (6, 14, 20 e 27 de Outubro e ainda 3 de Novembro), interpretados por vários grupos concelhios e também nacionais. A abertura do Ciclo iniciou-se com o espectáculo «Lost in Space» cuja produção está a cargo da Kind of Black Box. No dia 14 de Outubro, domingo, pelas 18 horas, será a vez do Grupo de Teatro CÔARTE subir ao palco e apresentar a sua nova produção, «As Três Cidras do Amor», de Y. K. Centeno. «É por aqui… a sequela», espectáculo cómico com a duração de uma hora, composto por vários sketchs e recheado por apontamentos musicais cantados ao vivo pelos actores – é o espectáculo que se segue, a 20 de Outubro. A Padeira de Aljubarrota foi mesmo uma heroína!? Uma heroína? Mas afinal onde começa e acaba a história? É o que “a menina dos meus olhos, associação cultural” pretende revelar no dia 27 de Outubro com a apresentação «Das Padeiras». O Ciclo de Teatro termina a 3 de Novembro com «Ensaios», a cargo do Grupo de Teatro “Guardiões da Lua”. Terça, 09 de Outubro de 2007

A falsidade

A falsidade consiste numa privação de conhecimento, implícita nas ideias inadequadas, isto é, mutiladas e confusas.
Spinoza, Ética.

terça-feira, 9 de outubro de 2007

Professores!

"O grande estadista Péricles, cuja personalidade marcou todo o século V antes de Cristo, a ponto de este ficar conhecido como o Século de Péricles, compreendeu bem a missão do professor como forjador da personalidade e da consciência dos povos.
Certa ocasião, mandou reunir todos os génios e artistas que tinham contribuído para o engrandecimento de Atenas. Foram chegando os arquitectos, os engenheiros, os escultores, os guerreiros que defendiam a cidade, os filósofos que propunham novos sentidos para a vida... Todos ali estavam, desde o matemático que descobria no número o sentido helénico da exactidão até ao astrónomo que se debruçava sobre o universo, a fim de contemplar a harmonia das estrelas. Péricles reparou numa ausência notável: faltavam os pedagogos, pessoas muito modestas, encarregadas de guiar as crianças pelos caminhos da aprendizagem.
- Onde estão os pedagogos? - perguntou Péricles. - Não os vejo em lado nenhum. Ide buscá-los.
Quando, por fim, chegaram os pedagogos, Péricles disse:
- Já aqui estavam os que, com o seu esforço e perícia, transformam, embelezam e protegem a cidade. Mas faltáveis vós, que tendes a missão mais importante e elevada de todas: a de transformar e embelezar a alma dos atenienses."
(GUERRA, Miguel Ángel Santos. No coração da Escola, Colecção CRIAP, Edições ASA, Lisboa, 2003)